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Abstenue de pomper des quantités supplémentaires de gaz, l’Algérie s’engage à subvenir aux besoins énergétiques de la Tunisie

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Tunisie Algérie

Récemment, des sources médiatiques et des observateurs ont évoqué des relations tendues entre l’Algérie et la Tunisie sœur.

L’indicateur peut-être le plus frappant de cette tension est le refus de l’Algérie de fournir à la Tunisie des quantités supplémentaires de gaz , selon les instances officielles tunisiennes.

A cet égard, le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a profité de la visite de son homologue tunisien, pour démentir ces rumeurs et souligner les bonnes relations avec la Tunisie.

Mohamed Arkab a souligné que l’Algérie accompagne et soutient toujours l’Etat tunisien, sur instruction du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, selon Alger International Channel.

Arkab a révélé qu’il existe une coordination avec les autorités de tutelle tunisiennes afin de déterminer les besoins énergétiques nécessaires de la Tunisie et de les fournir afin d’assurer un été au niveau de cette dernière.

Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, et la ministre tunisienne de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Nouira El-Kenji, ont tenu une réunion de la commission mixte algéro-tunisienne de coopération énergétique.

La rencontre a abouti à la signature de procès-verbaux d’entretiens de coopération dans le domaine de l’énergie et des mines, notamment en ce qui concerne l’échange d’expériences et de connaissances dans les domaines des hydrocarbures, de l’exploitation de l’électricité, des mines, de l’exploitation et de la transformation des phosphates et des énergies renouvelables.

Le ministre tunisien s’est également entendu avec le ministre délégué chargé des micro-entreprises, Nassim Dhiafat, pour créer un fonds d’investissement commun pour financer les micro-entreprises des deux pays.

Il a été convenu d’ un programme annuel conjoint qui permettrait la mise en œuvre de différents axes de coopération dans le domaine des micro-entreprises, l’échange d’expertises et d’expériences, et l’accompagnement de jeunes porteurs de projets dans les zones frontalières des deux pays, à travers des projets communs.

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