Accueil A La Une « Malheureux et éhonté »: Yasmina Khadra attaque ses détracteurs après avoir rencontré l’ambassadeur...

« Malheureux et éhonté »: Yasmina Khadra attaque ses détracteurs après avoir rencontré l’ambassadeur de France

0
Yasmina Khadra

Algerie: L’écrivain algérien Yasmina Khadra a exprimé son agacement face aux critiques qu’il a reçues à propos de l’accueil que lui a réservé l’ambassadeur de France en Algérie, François Goyet.

Khadra a posté sur sa page Facebook : « A ceux qui se sont indignés parce que l’ambassadeur de France a eu la courtoisie et l’élégance de m’inviter à déjeuner (ce qu’aucun ministre algérien n’a dû faire) ».

« Je les invite, à leur tour, à parcourir ces quelques photos pour mesurer leur insolence », a poursuivi l’ancien officier de l’armée algérienne.

Khadra a publié des photos de sa rencontre avec des chefs d’État, des princes, des ministres, des ambassadeurs, des stars d’Hollywood et des célébrités du monde entier.

Le romancier controversé a poursuivi récemment : « Je conseille encore à ces malheureux de réapprendre à vivre leur vie et de ne pas tant se soucier de la vie des autres ».

« L’Algérien peut avoir plus d’amis et de fans en Chine qu’au Cap-Vert, en France qu’en Islande. Dieu leur pardonne, j’ai épuisé toute ma réserve d’indulgence.

Le romancier algérien a conclu son billet en disant : « Il y a des êtres, si on leur donne la lune sur une assiette, ils ne verront que des égratignures sur l’assiette.

La romancière algérienne Yasmina Khadra a suscité beaucoup de polémiques récemment en évoquant son éligibilité au prix Nobel et sa relation avec feu le président Abdelaziz Bouteflika, et sa défense de la langue française.

Khadra a déclaré dans un entretien avec son auditoire, animé par la Bibliothèque nationale, qu’il n’est pas possible d’abandonner complètement le français en Algérie, puisque 75 % de l’histoire de l’Algérie est écrite dans cette langue.

Yasmina Khadra a révélé que la raison de son retrait de la tête du Centre culturel algérien à Paris était sa critique du défunt président Abdelaziz Bouteflika lors de son troisième mandat.

Quitter la version mobile