Algerie: Le commentateur algérien hafid derradji est exposé à une nouvelle campagne marocaine d’accusations lancée par plusieurs médias et de nombreux militants marocains sur les plateformes de médias sociaux, dont les étincelles ont été un clip vidéo que le journaliste algérien lui-même a confirmé être fabriqué.
Le commentateur du réseau qatari « Bein Sport », hafid derradji, a révélé, sur son compte personnel sur la plateforme Twitter, jeudi soir, avoir fait l’objet de graves accusations, qu’il a reçues d’un suiveur marocain, qui a déclaré avoir a poignardé l’honneur des Marocains et des femmes marocaines.
derradji a écrit dans son tweet, qu’un clip vidéo fabriqué est diffusé sur la plateforme Twitter, d’une fausse conversation entre lui et l’un de ses partisans marocains, qui l’a accusé d’avoir dit des mots immoraux, dans des messages texte qui, selon elle, ont eu lieu entre eux .
Le commentateur algérien a ajouté qu’il avait trouvé des SMS, qu’il avait reçus du compte de ce suivi marocain, dans lesquels ils étaient maudits et insultés, avant que vous ne l’interdisiez, puis que vous fermiez complètement le compte.
derradji a ajouté, soulignant qu’une réponse immorale qui lui était attribuée avait été fabriquée, dans laquelle il insultait les Marocains et calomniait les femmes marocaines avec de gros mots, et en arrivait à affirmer que le commentateur algérien contestait la lignée de certaines naissances marocaines, ce que Draghi a nié complètement.
Dans un autre tweet, hafid derradji a remercié la direction de la plateforme Twitter, pour avoir fermé le faux compte qui a fabriqué les SMS, et les a fait circuler par ce qu’il a appelé des marchands de sédition de mouches humaines et électroniques, qui les exploitent à des fins que le commentateur algérien qualifiée de scandaleuse.
Le commentateur du réseau de chaînes « Bein Sport » a remercié du fond du cœur tous les abonnés de son compte sur la plateforme Twitter, qui ont déclaré avoir triomphé pour la vérité et exposé le processus de fabrication des faux messages, en écrivant à eux à la direction de la société Twitter.
