Algérie: Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a une fois de plus appelé à permettre à l’Afrique d’avoir deux sièges permanents au Conseil de sécurité des Nations Unies.
L’appel a été renouvelé lors de la réunion du 10e comité de l’Union africaine chargé du dossier de la réforme du Conseil de sécurité, qui s’est tenue à Addis-Abeba, en Éthiopie.
Le Premier ministre algérien, Aïmene Benabderrahmane, a lu le discours du président algérien lors de la réunion. Le président Tebboune a exprimé sa gratitude pour l’esprit de coopération continue et de coordination fructueuse entre les pays africains, représentés par leurs frères, au niveau des forums internationaux et régionaux. Le président a souligné la nécessité de permettre à l’Afrique d’avoir deux sièges permanents au Conseil de sécurité, en faisant passer son quota de représentation dans la catégorie des sièges non permanents de 3 à 5 sièges.
Le président Tebboune a déclaré que l’Algérie continuerait de travailler sans relâche pour faire entendre la voix du continent et pour remédier à l’injustice historique dont l’Afrique a été victime.
Il a également renouvelé l’engagement de l’Algérie à travailler avec les États membres de la Commission pour préserver le soutien important et croissant dont la position africaine bénéficie au niveau international, ainsi que pour réaliser des progrès tangibles dans les négociations sur la réforme du Conseil de sécurité.
L’appel du président algérien pour permettre à l’Afrique d’avoir deux sièges permanents au Conseil de sécurité est une question qui préoccupe depuis longtemps le continent africain. Cette question est au cœur de la réforme du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui est en cours depuis de nombreuses années. Les pays africains estiment que le Conseil de sécurité n’est pas représentatif et qu’il ne tient pas compte de leurs préoccupations et de leurs intérêts.
L’appel du président algérien est une manifestation de la détermination de l’Afrique à faire entendre sa voix et à obtenir la reconnaissance qu’elle mérite. Le président a souligné que l’Afrique avait un droit légitime à un siège permanent au Conseil de sécurité, et que cette question était un élément clé de la réforme du Conseil de sécurité.
En conclusion, l’appel renouvelé du président algérien à permettre à l’Afrique d’avoir deux sièges permanents au Conseil de sécurité est un rappel important de l’importance de la réforme du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Les pays africains continuent de travailler ensemble pour faire entendre leur voix et pour obtenir la reconnaissance qu’ils méritent. La question de la représentation de l’Afrique au Conseil de sécurité est une question de justice et d’égalité, qui doit être résolue pour que l’Afrique puisse jouer un rôle plus important dans la prise de décisions internationales.
