Le président de la CAF ciblé par Fouzi Lekjaa pour sa position sur l’Algérie

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Motsepe Fouzi Lekjaa

Le président de la Royal Université marocaine, Fouzi Lekjaa, est en train de cibler le président de la CAF, Motsepe, en raison de ses déclarations positives sur l’Algérie.

Lekjaa refuse d’accepter tout succès que l’Algérie pourrait obtenir, même s’il suscite de nombreux éloges. Lorsque Motsepe a évoqué le succès de l’Algérie dans la mise en place de la précédente édition du « Chan », Lakjaa n’a pas toléré les prises de position positives de Motsepe vis-à-vis de l’Algérie, préférant éviter de le recevoir lors de la Coupe du monde des clubs.

Il a lancé une campagne contre le président de la CAF sous prétexte qu’il n’avait pas de position claire sur l’Algérie accueillant le petit-fils de Mandela, qui a appelé à l’indépendance du Sahara Occidental et a accordé la liberté aux gens, dans le cadre de la purification de la région de toutes les manifestations du colonialisme.

Lekjaa a également tenté d’autres manœuvres pour cibler Motsepe, y compris l’utilisation de l’incident des fans, mais son mécontentement envers les déclarations de Motsepe concernant l’Algérie reste le principal motif de ses actions.

Il a même évité de recevoir Motsepe lors de la finale du Mondial des clubs et lors de la remise des médailles, exprimant ainsi son mécontentement envers lui. Ces actions de Lekjaa sont survenues en même temps que la compétition pour savoir à qui appartient le mot en embrassant « CAN 2025 », qui a été marquée par ses tentatives pour offenser l’Algérie dans divers scénarios, dont le boycott des « Shan » de manière claire et injustifiée qui n’a pas été acceptée par diverses parties.

Malgré tout cela, le président de la CAF, Motsepe, a maintenu sa sobriété dans ses déclarations, même sous les yeux de Lekjaa lui-même. Motsepe a salué le succès de l’Algérie dans la mise en place du « Chan », appelant à l’anticolonialisme en tous genres à la manière de son grand-père Nelson Mandela, qui a lutté contre les diverses formes de la discrimination raciale en Afrique du Sud avant d’être élu président légitime de l’Afrique du Sud au début des années 1990.

En fin de compte, il est regrettable que Lekjaa soit si obsédé par sa haine envers l’Algérie qu’il en vienne à cibler le président de la CAF et à créer des tensions inutiles entre les pays voisins. Il est important de reconnaître et de célébrer les succès de tous les pays africains, et de travailler ensemble pour promouvoir la paix et la coopération sur le continent.

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