L’Espagne empêche la sortie des marchandises algériennes sans dédouanement!

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Algerie Espagne: Un mois après que l’Algérie a suspendu l’importation et l’exportation depuis l’Espagne, suite à la suspension du traité d’amitié entre les deux pays, les autorités espagnoles ont imposé des conditions « obstruction » à toutes les marchandises à destination de ses ports vers l’Algérie, même celles d’origine non espagnole, et la procédure comprenait également les colis.

La Chambre de commerce espagnole a chargé les services douaniers et tous les opérateurs économiques de son territoire d’empêcher la sortie de marchandises du Royaume d’Espagne vers l’Algérie sans être soumis à la douane, mettant ainsi fin à tous les privilèges antérieurs qui permettaient la sortie souple et flexible des marchandises sur les navires direction l’Algérie.

Concessionnaires: La décision entrave l’arrivée des marchandises pendant une semaine supplémentaire

L’affaire comprend si les marchandises d’origine espagnole ou celles importées d’autres pays qui passent en Algérie par les ports espagnols et même les colis via le courrier international, une décision qui, selon les concessionnaires, pourrait entraver ces marchandises pendant une semaine supplémentaire.

Et l’instruction émise par la Chambre de commerce espagnole pour la région d’Alicante – vue par Al-Shorouk – stipulait : « Nous vous informons qu’à partir de la date du 21 juillet 2022, toutes les marchandises quittant l’Espagne de l’Espagne vers l’Algérie, doivent être obligatoires d’avoir les documents de déclaration en douane, et tous les documents qui ne sont pas disponibles Sur cette déclaration, il lui est interdit de quitter le territoire espagnol.

Cela vient en conjonction avec l’interdiction d’entrée et de sortie de marchandises vers et depuis l’Espagne depuis l’Algérie, comme l’a précédemment dirigé le directeur régional des douanes du port d’Alger pour le compte de « Fodad ». J » en juin dernier, plus précisément le 16 du mois dernier, a fait une enquête dans une correspondance portant le numéro 43/83 à la Direction générale des douanes concernant 3 types de marchandises, dont ses intérêts étaient confondus dans le traitement au niveau du port.

Il s’agit d’importations espagnoles à destination de l’Algérie réglées avant la date du 9 juin dernier, ou de marchandises d’origine et d’origine espagnoles arrivant en Algérie en provenance de ports et de pays autres que l’Espagne, et de marchandises d’origine non espagnole arrivant en Algérie via l’Espagne ports, appelant à une explication et des solutions pour ces cas où les services douaniers au port ont trouvé une ambiguïté. On ne sait pas comment y faire face, mais aucune décision n’a été prise à ce sujet jusqu’à présent.

Les opérateurs économiques algériens sont confrontés à des problèmes avec les fournisseurs hors d’Espagne en raison de l’absence de droits de douane pour leurs marchandises transitant par l’Espagne au niveau du port, ce qui a empêché le paiement des droits des usines importatrices.

L’Algérie avait interdit l’importation et l’exportation vers et depuis l’Espagne, au lendemain du gel du traité d’amitié entre les deux pays le 9 juin, et les économistes ont convenu à l’unanimité que la décision du gouvernement algérien de geler le traité d’amitié avec l’Espagne n’affecte pas les termes de association avec l’Union européenne.

Les proches du dossier ont estimé que l’Algérie est « un pays libre et maître dans ses décisions, et qu’elle a le droit d’encadrer ses relations commerciales, économiques et politiques avec n’importe quel pays, selon ce qui sert ses intérêts ». d’importation et d’exportation de l’Espagne tout en remplissant ses obligations énergétiques, dans le cadre de l’exportation de gaz, montre son respect des accords internationaux.

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