Algérie: Aucune approbation officielle pour l’importation des voitures en 2022

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Algerie: L’Association algérienne des agents automobiles a démenti ce qui a été diffusé par certains médias et pages Facebook concernant l’allocation de deux milliards de dollars pour importer des voitures et accorder des crédits à 12 agents.

L’assemblée professionnelle a déclaré: « Ces promotions visent à semer la confusion dans l’opinion publique et à brouiller les efforts inlassables pour réimporter des voitures par le biais d’agents officiels. »

il a ajouté, dans une précision qu’il a publiée à l’opinion publique que « le montant de deux milliards de dollars précédemment annoncé par l’ancien ministre de l’Industrie Farhat Ait Ali lors du décret exécutif n°20-27 en date du 19 août 2020, n’est que une rumeur aujourd’hui, et elle est infondée sur l’importation de voitures pour l’année 2022. » « .

S’agissant de l’octroi de crédits aux agents, l’assemblée a confirmé dans un communiqué : « Cela n’est vrai que si les agents demandeurs de crédits reçoivent des notifications confirmant la réception de l’agrément par le ministère de tutelle, ce qui n’est pas arrivé à ce jour », sachant que le les agents attendent toujours une réponse du Ministère de l’Industrie il y a plus de 11 mois, positivement ou négativement, c’est-à-dire depuis septembre 2021.

Le groupe de concessionnaires automobiles a précédemment formulé de nouvelles propositions pour sortir de la crise automobile que connaît le marché algérien depuis 4 ans, basée sur l’importation et la fabrication à la fois, en accordant des licences d’importation aux agents ayant déposé des dossiers complets depuis plus d’un an. à la table du ministère de l’Industrie, qui sont disponibles dans Les conditions nécessaires, en contrepartie de ceux qui signent un engagement de conversion à l’industrialisation dans un délai maximum de 3 ans.

Dans une lettre adressée au président de la République, Abdelmadjid Tebboune, le 7 juillet, les concessions automobiles potentielles, dont le nombre est estimé à 75, se sont engagées à mettre en place une industrie locale de l’automobile et de sa manutention affiliée, par une véritable transformation technologique, au sein de une période n’excédant pas trois ans à compter de la date de délivrance des crédits.

Le même message appelait à ouvrir l’importation de voitures neuves à la vente, mais d’une manière délibérée qui assure l’exploitation optimale des devises fortes, en se basant sur deux points : les besoins actuels du marché local et les perspectives d’avenir du parc automobile en Algérie.

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