Hajj 2022.. Détails du suivi médical

0
Hajj 2022

Le porte-parole d’Air Algérie, Amine Andaloussi, a révélé que le quota du pèlerinage pour la saison 2022 est estimé à 9 400 places.

Andaloussi a déclaré que le processus de vente des billets du Hajj commencera le 15 juin.

De son côté, la responsable du comité médical du Centre Al-Adab, le Dr Katia Rouabhi, a révélé que le processus de vaccination et de suivi médical pour la réhabilitation des pèlerins prendra fin le 2 juin, après avoir débuté dimanche.

Le Dr Katia Rouabhi a indiqué, dans une déclaration à la radio régionale de Sétif, que le centre de surveillance enregistrait les cas de santé complexes, notant qu’ils sont toujours en cours d’étude pour une rééducation médicale avant de voyager.

Rouabhi a souligné que le permis de vaccination pour le virus Corona est obligatoire pour effectuer ce rituel.

La porte-parole a expliqué que le suivi médical des pèlerins s’effectue par étapes, sans préjudice du reste des étapes administratives, afin de compléter le dossier.

D’autre part, le médecin a souligné que les conditions du Hajj pour la saison en cours, ont empêché certains de ceux dont les noms étaient mentionnés dans les listes de loterie en raison des conditions d’âge et de Muharram.

Il est à noter que le ministère saoudien du Hajj et de la Omra a autorisé 18 697 Algériens, sur un million de pèlerins, à effectuer le rituel pour la saison en cours.

La part de l’Algérie est tombée à plus de la moitié, car les autorités saoudiennes ont autorisé en 2020, 41 300 pèlerins algériens à visiter les lieux saints et à effectuer le Hajj.

Cette baisse intervient à la lumière de la baisse du nombre de pèlerins arrivant dans les lieux saints, alors que le Royaume d’Arabie saoudite recevait plus de deux millions de pèlerins .

Article précédentLa Belgique est le premier pays à imposer une quarantaine obligatoire aux personnes atteintes de la maladie variole du singe
Article suivantLa Russie annonce la poursuite de son soutien financier militaire et le Mali accuse la France de crimes de guerre