Justice: 18 mois de prison pour Rabah Madjer

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Rabah Madjer

Algerie: Le Procureur de la République près le Tribunal de Sidi M’hamed a requis 18 mois de prison contre l’ancien électeur national Rabah Madjer.

Madjer poursuit dans l’affaire du bénéfice de la publicité publique par escroquerie, escroquerie, faux, usage de faussaire et fausse déclaration.

le représentant du droit public a demandé que l’affaire soit réadaptée du délit d’escroquerie au délit de tentative d’escroquerie.

L’Agence nationale de l’édition et de la publication s’est constituée partie civile dans l’affaire, demandant une indemnisation pouvant aller jusqu’à 4 milliards de centimes.

Le tribunal de Sidi M’hamed à Alger avait reporté au dernier mois de mai l’examen du cas de l’ancien joueur international Rabah Madjer dans l’affaire de la publicité publique.

En octobre 2021, la star portugaise de Porto a comparu devant le juge d’instruction, chambre 15 du tribunal de Sidi M’hamed, pour être entendue dans le dossier.

l’ancien directeur de l’ANEP, Larbi Ouanoughi, a révélé que Madjer bénéficiait de contrats publicitaires pour les journaux « Al-Balagh » et « Al-Balagh Al-Riyadi », qui s’élevaient à 30 milliards de centimes, malgré le fait que ces titres ont cessé de paraître.

Bien que les « revenus publicitaires » dont Madjer a bénéficié aient été réalisés par le biais de contrats légaux, il n’a pas respecté, a ajouté la source, les termes et la mise en œuvre de tout ce qui avait été convenu.

il a enquêté sur le dossier, selon la source, de 3 parties, à savoir le groupe de recherche du groupement régional de la Gendarmerie Nationale en Algérie, l’Inspection Générale des Finances, en plus d’un audit d’un compte interne qui a été lancé en collaboration avec des experts-comptables extérieurs à l’établissement pour apprécier le bilan des années précédentes.

Auparavant, Rabah Madjer avait confirmé dans des communiqués de presse qu’il avait bien été transféré au tribunal de Sidi M’hamed, accompagné de sa compagne, et avait soumis des documents prouvant que le journal imprimait et publiait au moment de bénéficier des publicités du gouvernement devant le juge d’instruction. .

Il a ajouté qu’il payait des impôts et des droits d’impression de manière régulière pendant la période de sa gestion du journal, exprimant sa pleine confiance dans la justice algérienne.

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